Après sa victoire 1 à 0 face à Toulouse au Stadium, le PSG reçoit le FC Nantes ce mercredi en demi-finale de Coupe de France à 21h, au Parc des Princes. Le club de la capitale voudra se qualifier pour sa 5ème finale consécutive et défendre son titre le 27 avril 2019, au Stade de France.
Le groupe parisien
L’infirmerie parisienne est encore bien remplie. Toujours privé de Neymar et espéré pour une éventuelle finale le 27 avril prochain. Cavani, Di Maria et Meunier seront également absents pour ce match face à Nantes. Cependant, Thomas Tuchel a parlé d’un possible retour de Julian Draxler et Dani Alves face aux canaris. L’entrainement de l’après-midi donnera confirmation de ses deux retours dans l’effectif.
Un adversaire qui lui réussit bien
Depuis l’arrivée des Qataris au club, le FC Nantes ne s’est jamais imposé face au club de la capitale. Pire, les Canaris ont connu 13 défaites en autant de matchs depuis le 25 août 2013 et une victoire parisienne 2 buts à 1 au Stade de la Beaujoire. Au Parc des Princes, le PSG reste sur 7 victoires consécutives face aux Nantais, 6 en Ligue 1 et un 8ème de finale de CDF, en février 2015, remporté 2 à 0. Les Parisiens ont marqué 20 buts (une moyenne de 2.9 buts/match) et encaissé seulement 2 petits buts (0.28 buts/match) face à Nantes.
Des statistiques largement à l’avantage des Parisiens sur ces dernières années, que cela soit en championnat ou dans les coupes nationales, espérons que ça dure !
Accroitre son record en Coupe de France
En se qualifiant, le PSG pourrait disputer sa 5ème finale d’affilée en Coupe de France, égalant le record de Lille (entre 1945 et 1949) et viser une 5ème victoire de suite le 27 avril prochain. Une victoire en finale cette saison permettrait au Paris Saint-Germain d’empocher leur 13ème coupe de France lui permettant d’augmenter son avance sur son poursuivant dans cette compétition, son plus grand rival : l’Olympique de Marseille (10 victoires). Les Parisiens auront à cœur de se qualifier face aux nantais pour viser un doublé coupe-championnat et essayer d’oublier un petit peu la désillusion mancunienne…
