Nous, Collectif Paris United, tenons à rappeler que nous sommes libres et indépendants de tout et de tous. Nous ne détenons, ne revendiquons et n’avons jamais revendiqué :
-ni monopole de l’information, du « supportérisme » ou de vérité.
-ni privilèges.
Notre seule et unique revendication est la liberté d’informer. Notre richesse n’est pas tant dans la qualité de nos informations que dans notre indépendance totale, voulue, chérie, et entretenue.
Nous avons un profond respect pour tous les acteurs de la vie autour du club. Tout comme de leurs choix d’interagir avec ce dernier, même si c’est parfois de façons plus ou moins contraintes ou téléguidées. Nous ne portons aucun jugement. Nous trouvons qu’il est légitime de vouloir préserver ce qui a été construit, au fil des années et parfois au prix de longues luttes.
Notre démarche est autre. Ni meilleure, ni pire, simplement autre. Nous avons fait le choix, libre et conscient, de résister, coûte que coûte, aux multiples et diverses pressions, directes ou indirectes, exercées à notre encontre par certaines personnes au sein du Paris Saint-Germain. Leurs agissements n’ont de cesse, depuis un an et demi, de renforcer notre détermination. Le choix de l’anonymat, comme d’agir en tant que collectif, fait entièrement parti de cette volonté. Il faut être fort et soudé pour résister. Il faut savoir rester caché pour ne pas être menacé. Nous tenons aussi à rappeler que l’anonymat n’est pas un délit, pas plus qu’un faux-nez pour des actes illicites. Nous n’enfreignons aucune loi, et ces mêmes personnes au club le savent parfaitement.
Enfin, nous appelons à l’unité comme au respect, y compris dans la façon de vivre son amour de notre équipe de cœur. Ceci est aussi valable pour les échanges sur les réseaux sociaux, souvent trop peu respectueux des différences de points de vue à notre goût. Mais si la stratégie voulue est de diviser pour mieux régner, nous affirmons que le poison de la division, est le moteur de la réunification, et ce depuis la nuit des temps. Paris United ne cessera jamais d’œuvrer en ce sens.
Allez Paris.
@J.M.R