Alessandro Florenzi est arrivé à Paris et a signé son contrat aujourd’hui. Il sera donc qualifié pour affronter l’OM ce dimanche. Avec le retour de quelques malades, Tuchel va avoir plus de choix pour faire sa composition d’équipe.
Après la défaite, les failles du PSG ont été pointés du doigt. Non pas que ce résultat soit un drame alors qu’il reste 37 journées, mais nous remarquons le manque de solutions quand il y a trop d’absents.
En plus du retour à l’entrainement des malades du COVID, Thomas Tuchel va pouvoir compter sur Sergio Rico dans les buts, mais aussi sur Alessandro Florenzi, qui s’est engagé avec le PSG et qui sera donc dans les délais légaux de 48 heures imposés par la Ligue pour être qualifié. Cette arrivée ouvre des perspectives. (Vous pouvez découvrir les premières images exclusives de Florenzi à la Factory sur notre compte twitter @parisunited6).
L’ancien joueur de la Roma peut évoluer latéral droit dans une défense à quatre, mais il peut aussi jouer couloir d’une défense à cinq. Thomas Tuchel peut donc le titulariser dans une ligne Bernat – Kimpembe – Kehrer – Florenzi, mais il peut aussi passer à trois défenseurs axiaux Diallo – Kimpembe – Kehrer, et aligner Bernat à gauche et Florenzi à droite.
Il ne faut pas oublier que le joueur passé par Valence, était, au départ, plutôt un milieu couloir droit, et qu’il a reculé pour les besoins de l’équipe. De plus, évoluer dans le couloir d’un système à cinq, ça lui est arrivé à la Roma, à Valence, mais aussi en équipe nationale.
Un groupe plus étoffé qu’à Lens
Ce qui est sûr, c’est que l’italien est prêt à débuter puisqu’il s’entrainait normalement avec l’AS Roma; la série A devant reprendre dans une semaine. Peut-être pas pour jouer 90 minutes, il pourra en tout cas jouer une heure, au moins.
Navas, Neymar, Paredes et Di Maria ont donc repris l’entrainement. Cela va permettre au PSG de composer un onze plus fort que celui aligné à Lens, mais aussi d’avoir un banc plus conséquent.
Évidemment, tous ne seront pas à 100%, ni capables de jouer toute la rencontre, mais sur un match, tous les joueurs sont en mesure de compenser le manque de compétition. Le vrai problème, quand on n’est pas prêt, c’est l’enchainement des matchs. Paris accueille en effet Metz dès mercredi. Mais à choisir, il vaut sûrement mieux aligner la meilleure équipe possible face à l’OM, quitte à faire tourner face à Metz, que l’inverse.
En tout cas, Thomas Tuchel ne va plus avoir beaucoup d’excuses pour justifier ses choix étranges, comme la titularisation de Kurzawa à droite dans le Nord. Et après la défaite à Lens, un deuxième accroc après seulement deux journées serait bien mal venu.
